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Written by carobookine on 21 décembre 2017

On la trouvait plutôt jolie – Michel Bussi

Policier

Auteur : Michel Bussi

Genre : Polar

Nombre de pages : 464

Éditions Presses de la Cité (12 octobre 2017)

 

Leyli a décroché un CDI. C’est la dernière pièce qu’il manquait à son puzzle pour espérer obtenir, auprès de l’office compétent, un appartement digne de ce nom pour elle et ses trois enfants. 

Le même matin, le corps d’un homme est retrouvé assassiné dans un hôtel. Sur les caméras de surveillance, une jeune femme a l’air de défier les enquêteurs. D’autant qu’un détail a son importance : avant de lui tailler les veines, la meurtrière aurait prélevé le sang de sa victime. Dans quel but ?

C’est la question que tout le monde se pose pour l’arrêter avant qu’elle ne sévisse de nouveau. 

Je remercie chaleureusement l’auteur et les Éditions Presses de la Cité pour la lecture du dernier roman de Michel Bussi. 

 

Elle est plutôt jolie l’histoire de cette femme, Leyli, et de ses trois enfants, Bamby, Alpha et Tidiane.

L'intrigue démarre dans la cité phocéenne, avec sa vue sur la Méditerranée, ses odeurs et ses couleurs incomparables. 

Originaire de Ségou, une petite ville à deux cents kilomètres de Bamako, Leyli est une battante. Avec ses couleurs, son sourire, sa joie de vivre et ses origines peules, elle est la matriarche d’une famille métissée. Son histoire est dévoilée au fil des pages via les récits de Leyli (passionnants) revenant sur sa petite enfance et les raisons qui l’ont poussée à s’exiler en France.

Le nouveau roman de Michel Bussi, c’est aussi une histoire d’oiseaux migrateurs, réfugiés et migrants qui tentent d’échapper à leur condition et rêvent d’une vie meilleure, en France. La famille étant au coeur du récit, les liens du sang forment un indice à part entière. Enfin, si les enquêteurs ont fort à faire avec le premier meurtre, ils savent d’entrée qu’il ne sera pas le seul. Alors, tout le monde se retrousse les manches et s'active. 

– Attention, je te parle des migrants, là, pas des réfugiés. 
– C’est quoi la différence, patron ?
{…}
– Rien de plus simple, gamin ! Les réfugiés sont les gentils, ils fuient la guerre dans leur pays, on doit avoir pitié d’eux, on a le devoir moral de les accueillir, la France est une terre d’asile ! Les migrants, eux, ce sont les méchants, ils veulent nous envahir, ils sont seulement pauvres, mais des pauvres, on en a déjà assez chez nous. Tu comprends ?
– Donc on laisse entrer les réfugiés mais pas les migrants ?
– Tut tut tut, pas si vite mon garçon. Le devoir de la France est d’accueillir les réfugiés, mais la consigne est de ne pas les laisser entrer ! {…} 
Les pauvres doivent avoir la chance de vivre dans un pays en guerre pour pouvoir rester chez nous. On accueille les réfugiés politiques et on vire les migrants économiques. Et ne viens pas me demander pourquoi on a le devoir d’accueillir un gars qui crève de peur chez lui et pas un gars qui crève de faim. 

 

Comme dans tout bon roman, il y a un meurtre, une intrigue principale et de multiples rebondissements qui font douter le lecteur.

Ici, plus que jamais ! Cela ne m'arrive pas souvent, mais je suis plusieurs fois revenue en arrière car, vous verrez, vous serez surpris ! Plus on avance dans l'histoire, plus des éléments font sens. Et pour être sûre de bien comprendre, j'ai relu certains passages d'un autre oeil. En fait, cette histoire est tellement bien construite qu'il faudrait presque lire le livre une deuxième fois pour en saisir toutes les subtilités. 


On la trouvait plutôt jolie, ce sont des hommes qui prennent des risques, des enfants qui demandent des comptes et une femme qui essaie de maintenir le cap pour protéger sa famille. Une intrigue bien ficelée, une histoire très bien contée. En deux mots ? Une réussite !

Pourquoi imaginer le pire ? Quand l’actualité accouche d’un drame, quel égocentrisme morbide vous pousse toujours à penser qu’il ait pu toucher quelqu’un que vous connaissez ?

 

Présentation du roman aux Éditions Presses de la Cité 

 

A propos de l’auteur :
Professeur de géographie à l'université de Rouen, Michel Bussi est devenu le 2e auteur français le plus lu en 2016 (Palmarès le Figaro: GFK) et le 1er auteur français de romans policiers en 2015 (Source GFK / tous formats). Il est l'auteur aux Presses de la Cité de Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011 (Prix Polar Michel Lebrun, Grand Prix Gustave Flaubert, Prix Polar méditerranéen, Prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, Prix Goutte de Sang d'encre de Vienne, 2011…), Un avion sans elle (Prix Maison de la Presse et Prix du Roman populaire, 2012), Ne lâche pas ma main (Prix du roman insulaire, 2013), N'oublier jamais (2014), Gravé dans le sable (2014), Maman a tort (2015), Le temps est assassin (2016) et On la trouvait plutôt jolie (2017).

Ses ouvrages sont traduits en 34 langues et les droits de ses romans ont été vendus pour le cinéma et la télévision.

Site de l’auteur

Michel Bussi est sur Facebook

Tags: espoir, femme, jolie, Maroc, Marseille, métisse, meurtre, Michel Bussi, migrants, polar, policier, Presses de la Cité, réfugiés, rêve, vie

2 comments

  • Eli Bennet has written: 22 février 2018 at 11 h 35 min Répondre

    Je viens tout juste de terminer Nymphéas Noirs, que j'ai adoré. On la trouvait plutôt joli est dans ma PAL, je vais continuer sur ma lancée Bussi !

    • carobookine has written: 24 février 2018 at 16 h 21 min Répondre

      Une nouvelle fan de Michel Bussi ? Je comprends 😉 bonne lecture !

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{Chronique de vies qui s’entremêlent 💕} « {Chronique de vies qui s’entremêlent 💕}

« A quoi tient la vie ? A nos liens invisibles ; à nous, inconnus, qui, sans le savoir, sommes raccordés. A nos existences qui se percutent en silence. »

Imaginez. Vous êtes seul, en pleine nuit. Vous allumez votre radio. Une voix s’élève, celle de Luciole. Elle est là pour vous, rien que vous : entendre vos confidences et tenter de vous apporter un peu de réconfort. 
Mais un soir, les rôles s’inversent. Alors que l’émission nocturne commence, Luciole reçoit 3 cassettes dans une enveloppe. Envoyées par un certain Eddy. Et elle décide de les faire écouter à ses auditeurs. 
 
👉 Découvrez sur le blog ma chronique détaillée de « Il faut beaucoup aimer les gens », le nouveau roman de @solenebakowski paru aux @editionsplon :
https://carobookine.com/il-faut-beaucoup-aimer-les-gens-solene-bakowski/

💫 Mais pourquoi donc lire ce livre ? 
- C’est un joli roman, sensible et doux qui fait la part belle aux liens entre les gens
- Pour l'ambiance de l'émission de radio de nuit qui invite aux confidences
- Voilà le genre de livre qu’on n’a pas envie de finir tellement on est bien 🤗

❓Et vous, l’avez-vous lu ? Envie de le lire ?
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{Chronique d’un père survolté par amour pour s {Chronique d’un père survolté par amour pour sa fille 🔥}

« Mais à quoi sert de vivre, si on ne peut se raccrocher à l’impossible ? »

Gus est désespéré. La juge aux affaires familiales vient de lui retirer le droit de garde de sa fille, Emilie, sa petiote de 14 ans. 
Lui qui a toujours été un loser s’accorde le droit de faire ce qu’il veut : à commencer par prendre en otages tous les occupants du Love Hotel, hôtel miteux de Chalon dans lequel il loue une chambre. 
Une prise d’otages pour faire entendre tout l’amour qu’il a pour sa fille, rien que ça. Faut le comprendre, Gus, il n’a plus rien à perdre !
 
👉 Découvrez sur le blog ma chronique détaillée de « Petiote », le nouveau roman de @benoit.philippon paru aux @les_arenes :
https://carobookine.com/petiote-benoit-philippon/

📆 Sortie demain, le 12/05/22 

Vous commencez à me connaitre, j’aime la plume de Benoît Philippon. J’aime son style d’écriture, j’aime les histoires qu’il raconte. Et j’aime avant tout ses personnages. 
Dans "Petiote", tous les ingrédients qui me font aimer ses livres sont réunis ! Car les personnages évoluent sous la finesse, l’humour et la tendresse de l’écriture de Benoit. Qui sait aussi user de piment pour, si tant est que ce soit possible, rendre la situation encore plus complexe. J’aime sa capacité à maltraiter ses personnages tout en les cajolant juste derrière. Ce yoyo affectif avec lequel il joue aussi avec nous !

#VousMettrezCaSurMonArdoise

"Petiote" est une prise d’otages humaine. Réaliste. Sociale. Touchante. Sombre. Décapante. Mais amusante aussi. On passe par toutes les émotions, comme dans la vraie vie. Un superbe roman !

❓Et vous, l’avez-vous lu ? Envie de le lire ?
#lire #livre #lecture #chronique #livrestagram #bookstagram #instabooks #booklover #blogger #lirecestlavie #roman #jaimelire
{Chronique d’une vie non-ordinaire} Qui a envie {Chronique d’une vie non-ordinaire}

Qui a envie d’un homme sans histoires ? 
Un homme qui chaque jour, chaque semaine, chaque mois est réglé comme une horloge alsacienne, et rien ni personne ne peut le faire s’écarter de sa petite vie bien rythmée. 

Henri Reille est de ces hommes-là. 
Il mène sa vie sans se poser de questions, jusqu’au jour où il se retrouve « la moitié du corps, dont la tête, immergée dans l’eau de l’Atlantique Nord, seulement attaché par le pied à un navire de plaisance en perdition dont le capitaine n’avait de marin que la vareuse »…
 
👉 Découvrez sur le blog ma chronique détaillée de « Un homme sans histoires », le premier roman de @nicolas__carreau paru aux @editionsjclattes :
https://carobookine.com/un-homme-sans-histoires-nicolas-carreau/

On connait Nicolas Carreau pour ses coups de cœur littéraires dans l’émission "La voix est livre" sur Europe 1.
Ici, on le découvre auteur qui sait manier l’humour et qui en joue au travers d’une histoire faite de péripéties et de retournements de situation rocambolesques. Et Henri, cet homme apparemment sans histoires, en vit finalement de nombreuses !

Un premier roman original, joyeux et surprenant qui fait passer un bon moment de lecture.

❓Vous connaissez Nicolas Carreau ?
#lire #livre #lecture #chronique #livrestagram #bookstagram #instabooks #booklover #blogger #lirecestlavie #roman #jaimelire
Daphné et Hadrien organisent une soirée avec leu Daphné et Hadrien organisent une soirée avec leurs amis pour fêter leurs vingt ans de rencontre. 
Le thème de la fête ? Les stations de métro. Et leurs invités rivalisent de déguisements plus fous les uns que les autres. Deux personnes sont embauchées pour faire le service. 
La fête bat son plein. Jusqu’au moment où Gaspard tombe du balcon. Quelques jours après, c’est Cyril qui fait une chute accidentelle. 
Que s’est il passé ? Et que va-t-il se passer ensuite ? La tension est à son comble !

👉🏻 Un court roman qui se lit vite et bien. La toute première scène est visuelle, on est happé par l’intrigue. Et puis très vite on comprend que quelque chose ne tourne pas rond. 
« La puissance des ombres », c’est cette sensation que quelque chose cloche sans trop savoir quoi. On a beau chercher, on ne trouve pas. Alors la vie continue, mais l’esprit n’est pas tranquille. Car il y a bien un lien qui relie toutes ces personnes…

📍Totale découverte de la plume de Sylvie Germain, délicate et poétique, avec de nombreuses références culturelles. Un roman agréable à lire mais qui ne m’a pas vraiment marquée. J’ai eu la sensation d’avoir manqué un truc. Impossible de dire quoi mais je sens qu’il y a une ombre qui pèse sur ma conscience…

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