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Written by carobookine on 3 septembre 2016

Les disparus du phare – Peter May

Policier

Auteur : Peter May

Genre : Roman étranger

Traduit de l’anglais par Jean-René Dastugue

Nombre de pages : 320

Editeur : Rouergue noir (juin 2016)

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Un homme est rejeté sur le rivage de l’île sauvage écossaise des Hébrides, frigorifié, ne devant sa survie qu’à son gilet de sauvetage. Il est en vie, mais n’a aucun souvenir de comment il en est arrivé là, c’est l’amnésie la plus totale.
Une vieille dame le recueille et l’amène chez lui où il ne trouve aucun objet personnel pouvant lui donner des indices sur son identité. Par une voisine, il apprend qu’il a pris un congé sabbatique pour écrire un livre sur les îles Flannan où trois gardiens du phare ont mystérieusement disparu il y a près d’un siècle. Sauf que dans son ordinateur, il n’y a rien, pas un seul début de phrase, pas une seule ligne… Et puis un soir, un homme essaie de s’en prendre violemment à lui, et un autre le sauve des griffes de son assaillant.
Mais qui est-il ? Que fait-il dans cet endroit reculé d’Ecosse à la faune incroyable ? A-t-il une famille ? Qui sont ceux qui l’entourent ? Qui peut lui en vouloir, qui l’a sauvé et surtout pourquoi ?…

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Ce livre est l’un des deux romans policiers lus dans le cadre du Grand Prix des Lectrices ELLE.

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Je n’avais jamais lu Peter May, je ne savais pas à quoi m’attendre et ce roman est d’un premier abord pas évident : un pavé de 320 pages à l’écriture très petite, peu de dialogues, beaucoup de texte narratif, bref le genre de roman pour lequel il faut prendre son temps.

Mais dès les premières pages le roman démarre fort. Cet homme rejeté sur la rive, complètement perdu, s’aperçoit qu’il est passé à deux doigts de la mort. Son amnésie le rend fragile. Bizarrement il ne m’est pas très sympathique car très vite on comprend que son histoire est louche : sa maison ne paraît pas réellement habitée (dans le sens où il n’y a pas de vie), aucun objet personnel, cet homme est seul, sans famille, alors qu’il est pourtant arrivé il y a 18 mois avec une trace blanche à l’annulaire gauche… On dirait qu’il a pris soin de ne laisser aucune trace derrière lui, ce qui, dans la situation dans laquelle il se retrouve, l’aurait pourtant beaucoup aidé. Au fur et à mesure des pages qui se tournent à toute vitesse, on comprend que l’histoire est complexe, son passé lui revient par flashs mais sans parvenir à élucider la situation. Beaucoup de mystère, des non-dits, des mensonges et un homme retrouvé mort sur une ile sur laquelle il ne se souvient pas d’être allé, alors qu’au fond de lui-même il craint d’avoir pu le tuer…

Au-delà de l’intrigue policière, Peter May aborde des sujets scientifiques, écologiques et politiques et je suis très étonnée car il nous sensibilise avec subtilité sur le sort d’un insecte qui joue un rôle important dans l’équilibre de notre planète et notre avenir en tant qu’homme : l’abeille. Je ne sais pas si comme moi vous en avez récemment entendu parler, mais rares sont ceux qui se sentent concernés par la protection des abeilles (j’avoue, moi la première) et pourtant j’ai appris beaucoup de choses très intéressantes. Ce travail de recherche dans la menace d’un écosystème est le fil rouge des Disparus du phare qui est un excellent polar qui vous tient en haleine jusqu’au dénouement final. Je suis subjuguée par l’écriture de Peter May, l’intrigue et la construction de son roman. Au cœur d’une nature sauvage éblouissante, la quête d’identité de cet homme et les rebondissements de l’enquête policière forment un bon mélange d’angoisse et de suspens. Un polar dans lequel il ne faut pas hésiter à se plonger pour découvrir toute la vérité.

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Présentation du roman disponible aux Éditions du Rouergue

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A propos de l’auteur :
Né en 1951 à Glasgow, Peter May a été journaliste, puis brillant et prolifique scénariste de la télévision écossaise. Il vit depuis une dizaine d’années dans le Lot où il se consacre à l’écriture. Sa trilogie écossaise – L’Île des chasseurs d’oiseaux, L’Homme de Lewis et Le Braconnier du lac perdu –, initialement publiée en français par les Éditions du Rouergue, a conquis le monde entier. Saluée par de nombreux prix littéraires, toute son œuvre est disponible aux Éditions du Rouergue.

Tags: 2016, abeille, amnésie, angoisse, écologie, Ecosse, Éditions du Rouergue, iles, Peter May, polar, suspens, thriller

2 comments

  • Anne has written: 6 septembre 2016 at 16 h 18 min Répondre

    Je viens juste de l’acheter et votre chronique me donne encore plus vite envie de m’y plonger ! 🙂

    • carobookine has written: 6 septembre 2016 at 17 h 17 min Répondre

      Tant mieux, je suis ravie ! Bonne lecture

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{Chronique de vies qui s’entremêlent 💕} « {Chronique de vies qui s’entremêlent 💕}

« A quoi tient la vie ? A nos liens invisibles ; à nous, inconnus, qui, sans le savoir, sommes raccordés. A nos existences qui se percutent en silence. »

Imaginez. Vous êtes seul, en pleine nuit. Vous allumez votre radio. Une voix s’élève, celle de Luciole. Elle est là pour vous, rien que vous : entendre vos confidences et tenter de vous apporter un peu de réconfort. 
Mais un soir, les rôles s’inversent. Alors que l’émission nocturne commence, Luciole reçoit 3 cassettes dans une enveloppe. Envoyées par un certain Eddy. Et elle décide de les faire écouter à ses auditeurs. 
 
👉 Découvrez sur le blog ma chronique détaillée de « Il faut beaucoup aimer les gens », le nouveau roman de @solenebakowski paru aux @editionsplon :
https://carobookine.com/il-faut-beaucoup-aimer-les-gens-solene-bakowski/

💫 Mais pourquoi donc lire ce livre ? 
- C’est un joli roman, sensible et doux qui fait la part belle aux liens entre les gens
- Pour l'ambiance de l'émission de radio de nuit qui invite aux confidences
- Voilà le genre de livre qu’on n’a pas envie de finir tellement on est bien 🤗

❓Et vous, l’avez-vous lu ? Envie de le lire ?
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{Chronique d’un père survolté par amour pour s {Chronique d’un père survolté par amour pour sa fille 🔥}

« Mais à quoi sert de vivre, si on ne peut se raccrocher à l’impossible ? »

Gus est désespéré. La juge aux affaires familiales vient de lui retirer le droit de garde de sa fille, Emilie, sa petiote de 14 ans. 
Lui qui a toujours été un loser s’accorde le droit de faire ce qu’il veut : à commencer par prendre en otages tous les occupants du Love Hotel, hôtel miteux de Chalon dans lequel il loue une chambre. 
Une prise d’otages pour faire entendre tout l’amour qu’il a pour sa fille, rien que ça. Faut le comprendre, Gus, il n’a plus rien à perdre !
 
👉 Découvrez sur le blog ma chronique détaillée de « Petiote », le nouveau roman de @benoit.philippon paru aux @les_arenes :
https://carobookine.com/petiote-benoit-philippon/

📆 Sortie demain, le 12/05/22 

Vous commencez à me connaitre, j’aime la plume de Benoît Philippon. J’aime son style d’écriture, j’aime les histoires qu’il raconte. Et j’aime avant tout ses personnages. 
Dans "Petiote", tous les ingrédients qui me font aimer ses livres sont réunis ! Car les personnages évoluent sous la finesse, l’humour et la tendresse de l’écriture de Benoit. Qui sait aussi user de piment pour, si tant est que ce soit possible, rendre la situation encore plus complexe. J’aime sa capacité à maltraiter ses personnages tout en les cajolant juste derrière. Ce yoyo affectif avec lequel il joue aussi avec nous !

#VousMettrezCaSurMonArdoise

"Petiote" est une prise d’otages humaine. Réaliste. Sociale. Touchante. Sombre. Décapante. Mais amusante aussi. On passe par toutes les émotions, comme dans la vraie vie. Un superbe roman !

❓Et vous, l’avez-vous lu ? Envie de le lire ?
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{Chronique d’une vie non-ordinaire} Qui a envie {Chronique d’une vie non-ordinaire}

Qui a envie d’un homme sans histoires ? 
Un homme qui chaque jour, chaque semaine, chaque mois est réglé comme une horloge alsacienne, et rien ni personne ne peut le faire s’écarter de sa petite vie bien rythmée. 

Henri Reille est de ces hommes-là. 
Il mène sa vie sans se poser de questions, jusqu’au jour où il se retrouve « la moitié du corps, dont la tête, immergée dans l’eau de l’Atlantique Nord, seulement attaché par le pied à un navire de plaisance en perdition dont le capitaine n’avait de marin que la vareuse »…
 
👉 Découvrez sur le blog ma chronique détaillée de « Un homme sans histoires », le premier roman de @nicolas__carreau paru aux @editionsjclattes :
https://carobookine.com/un-homme-sans-histoires-nicolas-carreau/

On connait Nicolas Carreau pour ses coups de cœur littéraires dans l’émission "La voix est livre" sur Europe 1.
Ici, on le découvre auteur qui sait manier l’humour et qui en joue au travers d’une histoire faite de péripéties et de retournements de situation rocambolesques. Et Henri, cet homme apparemment sans histoires, en vit finalement de nombreuses !

Un premier roman original, joyeux et surprenant qui fait passer un bon moment de lecture.

❓Vous connaissez Nicolas Carreau ?
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Daphné et Hadrien organisent une soirée avec leu Daphné et Hadrien organisent une soirée avec leurs amis pour fêter leurs vingt ans de rencontre. 
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La fête bat son plein. Jusqu’au moment où Gaspard tombe du balcon. Quelques jours après, c’est Cyril qui fait une chute accidentelle. 
Que s’est il passé ? Et que va-t-il se passer ensuite ? La tension est à son comble !

👉🏻 Un court roman qui se lit vite et bien. La toute première scène est visuelle, on est happé par l’intrigue. Et puis très vite on comprend que quelque chose ne tourne pas rond. 
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📍Totale découverte de la plume de Sylvie Germain, délicate et poétique, avec de nombreuses références culturelles. Un roman agréable à lire mais qui ne m’a pas vraiment marquée. J’ai eu la sensation d’avoir manqué un truc. Impossible de dire quoi mais je sens qu’il y a une ombre qui pèse sur ma conscience…

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