Hier encore c’était l’été – Julie de Lestrange
Premier romanAuteur : Julie de Lestrange
Genre : Littérature française
Nombre de pages : 384
Editeur : Mazarine (16 mars 2016)
Alex, Marco, Sophie, Anouk, Virginie, Céline, Guillaume et Laurent sont des copains/cousins, c’est-à-dire que leurs grands-parents (Henri et Micheline, Georges et Madeleine) étant amis et voisins, depuis leur toute petite enfance ils se retrouvent chaque année dans leurs deux chalets de vacances dans un petit village de montagne. L’un s’appelle «le chalet de l’amitié», l’autre « le chalet aux volets rouges». Ils suivent sans s’en apercevoir les traces de leurs parents, Claude, Françoise, Jean, Anne-Marie, Evelyne et Denis.
Hier encore, c’était l’été est le premier roman de Julie de Lestrange dont j’ai beaucoup entendu parler. D’abord chez son éditeur, qui a beaucoup communiqué dessus, et ensuite chez mes amies bloggeuses qui ne se sont pas privées de donner leur avis (tant mieux !). De fil en aiguille, je remercie Julie de Lestrange et son éditeur Mazarine pour la lecture de ce joli roman.
Quelle meilleure entame que de dire que ce roman est parfait pour l’été ?
Déjà avec son titre qui, certes a une signification particulière, mais d’abord et surtout parle de l’été ! J’adore le titre et la couverture avec la cabane de plage, des tons chaleureux et rassurants et un bien-être apparent. Ensuite avec son histoire qui parle d’amour et d’amitié, les piliers de la vie !
Soyons honnêtes, qui n’a jamais rêvé de passer des vacances dans une maison familiale qui respire la joie de vivre et, cerise sur le gâteau, avec des amis à foison ? Le point de départ du premier roman de Julie de Lestrange est le sujet idéal : deux couples voisins qui s’entendent bien, qui ont des enfants du même âge, puis des petits-enfants qui jouent eux aussi ensemble. Que rêver de mieux ? Un mariage entre les deux familles bien sûr même si là forcément, la meilleure volonté des deux grands-mères ne suffit plus.
Nous suivons Alex, le personnage principal du roman autour duquel tous les autres gravitent, entre ses 20 ans et l’approche de la trentaine. 10 années pendant lesquelles le titre du roman trouve tout son sens : Hier encore c’était l’été signifiant pour moi le temps qui passe, la jeunesse qui file avec ses illusions, et le poids des responsabilités qui vient avec l’âge. Au sortir de l’adolescence et de ses meilleures années étudiantes, entrer dans la vie active et s’assumer n’est pas si simple, surtout si l’on se sent concernés par ses parents, ses frères et sœurs et ses amis bien sûr.
Alors forcément, on est entrainés par cette bande de copains, on se retrouve dans beaucoup de scènes du quotidien, on voyage entre la montagne, Paris, l’Italie, Londres et Barcelone, des villes qui font rêver rien qu’à les entendre !
On aime la plume de Julie de Lestrange qui est si fluide qu’on a l’impression de suivre une série télé, on rit des cocasseries des uns et des autres et on se moque aussi parfois de leurs réactions. La fin est un peu trop prévisible à mon goût mais comme une happy-end à l’américaine, elle fait du bien parce qu’on se dit que, quand on sait s’entourer de gens biens et qu’on s’attache à entretenir ses relations, quelles que soient les difficultés que l’on traverse dans la vie, on n’est jamais seul et de savoir qu’on peut compter sur les autres autant qu’ils peuvent compter sur nous fait beaucoup de bien.
En résumé, je vous invite à lire ce premier roman qui agit comme une petite pilule du bonheur 😉 Résolument optimiste, il aide à prendre la vie du bon côté !
Présentation du roman aux Editions Mazarine
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A propos de l’auteur :
Julie de Lestrange écrit pour la télévision, le théâtre et le milieu du spectacle. Hier encore, c’était l’été est son premier roman.
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