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Written by carobookine on 6 septembre 2017

Pourquoi les oiseaux meurent – Victor Pouchet

Premier roman

Auteur : Victor Pouchet

Genre : Premier roman

Nombre de pages : 192

Éditions Finitude (7 septembre 2017)

A quelques jours d’intervalle, il pleut des oiseaux morts dans la région de Rouen. Un événement non négligeable pour Victor, jeune parisien esseulé originaire de Bonsecours (là où l’une des pluies a eu lieu), qui délaisse sa thèse interminable et s’empresse d’enquêter. 

Suite aux conseils d’un ami qui lui dit que le problème doit venir du fleuve, il embarque sur un bateau de croisière, le Seine Princess, et vogue jusqu’en Haute-Normandie.

Je remercie les Éditions Finitude pour la lecture du premier roman de Victor Pouchet. 

Avec une couverture pareille, il m’était impossible de passer à côté de ce roman qui fait partie des 81 premiers romans de la Rentrée Littéraire 2017. Quelle aubaine, car l’intrigue est à l’image de la couverture : variée, perchée et quelque peu désuète. 

En un mot, cette histoire de pluie d’oiseaux morts est comme une astéroïde qui serait tombée dans la vie de Victor et l’aurait fait voler en éclats. D’un coup d’un seul, Victor est abasourdi tant par l’événement que par le manque d’intérêt de tous ceux qui l’entourent. D’ailleurs, son père, qui habite encore à Bonsecours, est injoignable et c’est sur un coup de tête qu’il décide de se rendre sur les lieux du drame. 

En route, il collectionne les indices et les colle dans un cahier qui fait office de journal de bord de sa quête. Car oui, il enquête, il cherche, il fouine même s’il n’est pas bien sûr de savoir ce qu’il cherche. 

Je ne savais pas ce que je voulais, mais je le voulais énergiquement. 

En revanche, il est certain qu’il trouvera ce qu’il est venu chercher lorsque la solution se présentera à lui. En attendant, il fait des découvertes inattendues et s’y intéresse au plus haut point ce qui l’emmène parfois sur des histoires incroyables ou loufoques. 

Avec un humour très fin et une très jolie plume, sensible et délicate, Victor Pouchet signe ici un premier roman un peu barré mais tellement original ! En quatrième de couverture, il est question de river-trip normand et c’est très juste. Embarquez à bord du Seine Princess avec Victor et laissez-vous faire. Vous verrez, vous vous surprendrez à vous intéresser à des choses que vous n’imaginiez même pas !

Si tu es un homme appelé à échouer, n’échoue pas, toutefois, n’importe comment.

 

Présentation du roman aux Éditions Finitude

 

A propos de l’auteur :
Victor Pouchet est né à Paris en 1985. Enfance en région parisienne, vacances sur la côte bretonne et dans les montagnes corses. Études à l’École Normale Supérieure de Lyon. Commence une thèse sur les descendants de Stendhal dans la critique au XXe siècle, l’abandonne sur le bord du chemin trois ans plus tard.
Il tente la traversée des Açores jusqu’à la France à bord d’un petit bateau à voile, puis commence à Brest, avec deux amis, un tour des frontières de France à pied par étapes annuelles, prévu pour s’achever en 2060.
Il enseigne aujourd’hui la littérature en classes préparatoires.

Tags: Finitude, Normandie, oiseau, premier roman, Victor Pouchet

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✨ LA VIE SELON ZOÉ, c’est une vie qu’on con ✨ LA VIE SELON ZOÉ, c’est une vie qu’on connait peu : une vie entière, flamboyante, audacieuse.
C’est une vie faite de hauts et de bas, d’élans fulgurants et de chutes brutales.
C’est exister pleinement quand elle est là, et ressentir douloureusement son absence dès qu’elle s’éclipse 💔
C’est apprendre à se préparer au pire juste après avoir goûté au meilleur.
Lire "La vie selon Zoé", c’est accepter de vivre des montagnes russes émotionnelles : ressentir, vibrer, souffrir autant qu’elle. On vit avec elle, on tombe avec elle, on renaît avec elle.
Je ne sais pas si je voudrais vivre toute la vie selon Zoé – sans doute pas – mais par fragments, oui. Parce qu’elle vit tout puissance 1000. Elle croque la vie à pleines dents, célèbre, pleure, affirme ses choix à voix haute, et continue à réfléchir en silence pour bousculer le monde 💭
La vie selon Zoé n’est pas simple. Elle secoue, elle noue l’estomac, elle embrouille l’esprit, elle questionne, elle assomme. Mais elle en vaut la peine 💫
Car quand on ressent des émotions aussi intenses, on n’oublie pas.
Et on n’oublie surtout pas Zoé.

👉 Chronique à lire sur mon blog 📖 « La vie selon Zoé » de @eleonoragalasso , paru aux @editionsmichellafon :
https://carobookine.com/la-vie-selon-zoe-eleonora-galasso/

👯‍♀️ Et vous, avez-vous déjà eue une amie comme Zoé ?
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📚 Rencontre avec Julien Sandrel ! Jeudi 9 octob 📚 Rencontre avec Julien Sandrel !
Jeudi 9 octobre à 20h, à la bibliothèque Libre-Cour à Vertou (44), venez échanger avec l’auteur de « Le jour où Rose a disparu » ✨

🔹 Le pitch ? 
Un grave accident de voiture. Un trou noir dans sa mémoire. Quand Rose se réveille, elle découvre sa maison en Belgique (vieillotte à ses yeux), son chat (auquel elle est allergique) et une vie qu’elle a souvent pensé quitter. Heureusement, elle peut compter sur Léo, son médecin, pour l’accompagner.
À Toulon, Aïda prend ses nouvelles fonctions à la Maison des femmes. Non pas du côté des femmes violentées, mais comme membre du personnel. Pour elle aussi, c’est le moment de tourner la page et d’avancer.

👉 Découvrez sur mon blog ma chronique détaillée de 📖 « Le jour où Rose a disparu » de @juliensandrel , paru aux éditions @harpercollinsfrance :
https://carobookine.com/le-jour-ou-rose-a-disparu-julien-sandrel/

Julien Sandrel y déploie tout son talent : des indices savamment distillés, où l’on avance parfois dans le brouillard… mais toujours guidé par une lumière d’espoir. 
Un roman qui touche, qui fait réfléchir autant qu’il divertit.
Et cette fin… 💖 un message fort, une très belle déclaration.

Alors, on s’y retrouve jeudi ? 😉
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